❝ ϟ I'm Cappie-Rose B. Baldwin ❞ put your hands in the sky.
₪ Age : 33 ₪ Nombre de mes conneries : 116 ₪ J'ai ramené mon cul le : 09/05/2011 ₪ Pseudo : Bepsy ₪ Copyright : Winnie₪ Je suis : Etudiante en Psycho ₪ J'ai un faible pour : Pour l'instant ? Pour tout et n'importe quoi ! ₪ Putain je pense qu'à : ...
Sujet: Moment for live - Cooper & Cappie Sam 21 Mai - 11:46
CAPPIE - Allez… Tu peux le faire BB ! Après tout, ce n’est pas la première fois ! Un peu de courage s’il te plait!
Elle inspira un grand coup, se prépara psychologiquement puis, tout en fermant ses yeux effrayé de ce qu’elle pourrait voir, elle commença à compter.
Une grimace de douleur resta figé sur son visage pendant quelques instants, puis la jeune femme lâcha la bandelette remplie de cire qu’elle avait en main pour se frotter la jambe qu’elle venait de dépiler. C’était une activité obligatoire chez les femmes. Elles étaient toutes obligées de passer par là, même si ça faisait atrocement mal… N’empêche, il fallait l’avouer, quelle connerie cette idée d’avoir des poils partout qui ne servent à rien ! On perdait tellement de temps à les retirer, que ça en devenait ridicule. Mais bon…c’était ça, ou le mec avec qui vous passiez la soirée, vous prenait pour un Ours.
Quoiqu’il en soit, Cappie-Rose avait enfin terminé sa séance de torture et était enfin prête. Pour faire quoi ? Et bien, pour tout simplement gambader en ville avec Caleb. Car effectivement, la jeune fille voulait profiter un peu du beau temps et de son fils. Avant de quoi ? Et bien avant qu'il soit l'heure de rentrer pour qu'il mange, fasse sa sieste et tout le reste. Puis l'air de rien, avec tout ça. Le manque de sommeil... , il fallait quand même se détendre un peu, non ? ! De plus, le shopping était un hobbies pour la jeune femme donc, elle faisait ça avec plaisir !
Quelques heures plus tard, Cap rentra chez elle les mains remplies de sacs. Logiquement, elle arrivait à se contenir mais cette fois-ci, l’appel des petites robes et accessoires avaient été trop fort ! Puis, après tout, ça ne faisait jamais de mal à personne de se faire de temps en temps plaisir, non ? Elle rangea donc ses affaires, coucha son petit bout dans le berceau puis s’accorda un petit moment de répit dans le fond de sa baignoire. Il n’y avait rien de tel pour relaxer et enivrer une personne. Du moins, il n’en fallait pas plus à Rosie pour être totalement en extase ! J'irais même jusqu'à dire que ça pouvait être mieux qu'un orgasme !
C’est qu’une fois la peau ramollit par l’eau chaude, qu’elle décida enfin de sortir de son bain et de se rhabiller de son jeans clair légèrement usé et de son haut marron. Elle se pomponna légèrement puis en voyant l’heure sur la grosse horloge au dessus de la porte, elle paniqua légèrement. Elle était en retard ! Oui ok, comme d'habitude mais bon... Elle alla donc dans la chambre de son petit monstre pour le préparer puis partit en direction de chez Cooper. Il avait l'après midi de libre, et avait décider de le passer en famille. Chose que Cappie adorait. Et oui, elle l'avouait, elle adorait passer ses journées avec l'homme qu'elle aimait et son fils. Après tout, qui n'aimerait pas ! Elle se dirigea donc vers sa voiture et envoya un même temps un sms à Coop pour le prévenir.
Code:
Je sais je suis en retard (a) Mais j'arrive dans 30min ! Bisous. C-R
Une demie heure plus tard, la jeune femme arriva devant la maison Winstead. Un sourire s'afficha sur ses lèvres tandis qu'elle sonna à la porte. Elle avait tellement hâte. Ca pouvait avoir l'air débile, surtout vu qu'elle l'avait vu il y a moins de 24h mais que voulez-vous. Leur relation s'améliorait de jour en jour et elle voulait vraiment y croire. Même si elle savait que ça allait être loin d'être facile.
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Sujet: Re: Moment for live - Cooper & Cappie Mer 25 Mai - 11:05
« cooper&cappie - moment for life. »
Un long soupir, c’est ce qui s’échappa des lèvres de Cooper alors qu’il entrait dans sa chambre. C’était une habitude qu’il avait perdue tiens, à Canberra et assez rapidement, avoir une chambre qui respirait encore… toute son enfance. Bah ouais, il ne s’était que peu livré à des redécorations d’intérieur au fil des années, alors il fallait avouer qu’entre la peinture clairement démodée et tout un tas d’autres trucs, cette chambre décrivait plus facilement le Cooper de dix ans que celui de vingt-quatre ans tout juste. Mais bon… De toute manière, il ne passait désormais que peu de temps dans cette pièce et quelque chose lui disait déjà, qu’il allait d’ici peu en passer encore moins. Cet instinct se résumait d’ailleurs en un seul mot, un simple mot qui avait déjà tout changé dans sa vie pourtant : Caleb. Ouais, comme « Kal-el » de Superman mais bon, on préfère éviter la comparaison sans doute c’est déjà assez difficile de trouver un prénom pour son gamin, alors si en plus il fallait tenir compte de toutes les références de la télé… ce serait un « NO NAME Winstead » qui aurait vu le jour en cette sainte journée du quatorze mai. Enfin, à présent et jusque là, tous les détails administratifs du genre ont été réglés en bonne et due forme, si bien que Cooper et Cappie n’avaient eu aucun souci à sortir de l’hôpital avec leur fils déclaré et prêt à être vacciné à ses prochaines consultations pédiatriques. Passant une main dans ses cheveux, Coop’ se laissa donc un instant, envahir par le désespoir (ça lui arrivait). Il en avait du bordel à ranger… et son lit à refaire… et de la poussière à enlever : c’est fou comme la poussière s’amassait facilement à cette époque de l’année ! C’est vrai quoi, il n’était parti… qu’une semaine et demi, deux et demi avec la naissance de Caleb et voilà que sa chambre ressemblait… à une chambre victime d’un cyclone. Poussant avec le pied un livre de droit de sorte à ce que celui-ci disparaisse sous le lit, il se dirigea vers son lit pour en virer le bordel. Putain, il en aurait pour des heures là. Et il n’avait justement pas des heures devant lui… génial.
Il n’avait même pas encore eu le temps de déballer les affaires qu’Emily lui avait ramenées de Canberra. Bah ouais, quand elle les lui avait amenées, il s’était contenté de les poser dans un coin, pour vite retourner à l’hôpital voir son fils tout juste né. Et puis voilà… le temps faisant, les choses amenant à ce qu’il aille accompagner Cappie dans son petit studio et d’autres trucs… tout ça avait entraîné qu’il n’avait pas encore déballé ses affaires. Malin. Il n’avait plus qu’à mettre tout au linge sale. Au moins faire ça et plus tard, il s’arrangerait pour que sa chambre ressemble à quelque chose qui puisse accueillir Caleb au calme s’il voulait dormir. Là, c’était peine perdue, il ne ferait que ça et resterait avec sa barbe de trois jours (eheh y paraît que c’est sexy) et ses traces de fatigue visibles un peu partout : un bébé, ça fatigue pas mal, surtout quand on est habitué aux longues grâce matinées, avec ou sans gueule de bois pour prétexte. On dit souvent que c’est les hommes qui ont le plus du mal à se faire au rythme de bébé bah tiens, pour une fois il voulait bien croire les études « scientifiques » et « psychologiques » sur la question : c’était sans doute lui, qui entre eux deux, avait le plus du mal à se faire au rythme biologique tout perturbé de mini Winstead. Abandonnant donc sa chambre après avoir pris soin de bien la fermer, il embarqua tout de même son sac de linge, pour tout foutre dans la machine : pas besoin de programme, c’était des matières tellement basiques que ça se lavait comme un rien : jean et… et substance inconnue pour les tee-shirt, c’est ça quand on est grand genre très grand, on a des vêtements parfois inconnus, qui viennent d’autres horizons et dont on ne connaît pas tous les détails techniques fort peu fascinants. Alors qu’il traînait des pieds vers les escaliers qui l’amèneraient en bas, Cooper entendit son téléphone sonner… désagréable sensation alors qu’il n’avait pas beaucoup dormi cette nuit et que la lourdeur de l’atmosphère ne lui avait laissé que peu de possibilités de faire une sieste matinale : oh que oui, il l’aurait faite et sans l’ombre d’un remord… quand on est fatigués, on n’hésite pas et au pire, il pouvait toujours confier Caleb à tonton Deklan qui était plutôt motivé… jusqu’à changer des couches, c’est dire.
Cette fois-ci, ce n’était pas Deklan mais bien Cappie, pour une toute autre chose. Elle arrivait dans une demi heure… avec Caleb car oui, c’est vrai, il avait proposé l’idée qu’ils passent l’après midi tous les trois à la maison, là où le soleil leur parviendrait plus facilement que dans el petit studio de Cappie. Et puis il y avait le jardin, la terrasse, plein d’endroits desquels il commençait à être en manque entre quatre murs… il avait bien perdu cette habitude depuis que Cappie était tombée enceinte, qu’ils passaient donc leur temps soit chez elle, soit chez lui… et que les choses s’étaient bouleversées, au point qu’il n’ait plus le temps de s’enfermer dans les quatre murs de sa chambre d’étudiant ou entre d’autres quatre murs. Bref. Arrivé en bas en accélérant légèrement le pas suite à l’approche imminente du point zéro ou de l’instant T tout dépend du fonctionnement. Dans le salon, il ramassa quelques cadavres de bière vieux d’une éternité, ou quelque chose comme ça, pour aller les foutre à la poubelle, tout comme un tas d’autres détritus et déchets en tout genre. Des cartons de pizza, des bouteilles d’autres choses, des paquets de bouffe…. Bref, tout ce qui faisait vraiment très homme bordélique. Après un si gros effort, il eut tout juste le temps de souffler avant qu’un chien pas très propre passe par là. Bah tiens, que serait une séance de ménage sans l’instant où il fallait sortir la serpillère pour ramasser les saletés faites par un chien d’environ cent kilos qui passait par là ; hein ! Enfin, ça faisait un moment déjà qu’il s’était fait aux hauts et aux bas que lui amenaient Sadie et Harley. Bizarrement, plus souvent des hauts que des bas, quand on était un jeune homme brave qui affronte la réalité des choses d’un point de vue canin. Eh oui, un chien, c’est pas très propre et avec le temps, il s’y était fait : il avait quand même ramassé les crottes et autres pisses de ces deux bestioles à cette époque lointaine où ils n’étaient pas encore dressés. Heureusement pour lui, cette époque était révolue, si bien qu’il n’eut pas à fournir un trop gros effort pour que la maison soit clean… ou le paraisse en tout cas. Après, encore une fois, se livrer à un ménage de printemps, c’était la mission de la femme de ménage et il n’avait pas l’intention de passer des heures sur son temps « libre » pour le faire. Et puis H moins sept minutes, alors il n’en avait clairement plus le temps !
Non, donc pour s’occuper dans ces dernières minutes de répit pendant lesquelles il n’en avait pas profité pour dormir un bon coup, il s’arrangera un peu les vêtements, réprimant un juron en remarquant que son pantalon avait aussi fait les frais du passage express du chien. Bah tiens. Et le voilà remonté pour changer de pantalon, quelle vie. A peine le pantalon enfilé, il fallait qu’on sonne à la porte… ou que Cappie file à la porte. Grognant une nouvelle fois une injure entre ses lèvres, Cooper descendit à toute vitesse, manquant de rater une marche (il ne manquerait plus que ça franchement) avant d’arriver en bas pour finir de bien se préparer en quelques secondes chrono et montre en main. Soupirant longuement en arrivant à hauteur de la porte, il l’ouvrit presque à la volée, avant de se reprendre dans un sourire dénué de tout stress et toute inquiétude alors qu’il voyait Cappie sur le pas de la porte. Cappie accompagnée d’un Caleb qui ne pleurait pas encore, quelle aubaine. « Hey… » dans un sourire, c’est tout ce qu’il trouva à dire pour saluer la jeune femme, ça faisait déjà un moment qu’ils ne s’étaient pas vus, ou qu’ils n’avaient du moins, pas eu le temps d’échanger quelques salutations… s’écartant légèrement de la porte, il lui laissa la place de passer. « Entre. J’m’en occupe. » Il parlait bien évidemment du sac bien lourd et rempli d’ustensiles en tout genre pour Caleb, ledit sac qu’il prit dans un accès de galanterie. Une fois entré, il referma la porte derrière lui, adressant un nouveau sourire à Cappie avant de se diriger vers la cuisine pour y poser le sac, au frais, histoire de ne pas risquer de foutre en l’air quoique ce soit : il avait bien retenu ses leçons de l’hôpital tiens. « Tu vas bien ? » Eh bah oui, la moindre des choses c’était de demander, surtout alors qu’elle avait passé un sacré moment seule avec Caleb, quand il était là, tout seul dans cette grande maison.
Moment for live - Cooper & Cappie
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