(c)Lsi

And I'd give up forever to touch you

Spoiler:

C’était génial de voir comment notre relation avancée à grand pas. Je n’aurais jamais pensé pouvoir vivre une chose comme ça. On n’était pas un couple plan plan, on n’arrêtait pas de se prendre la tête et de se réconcilier sur l’oreiller et j’adorais ça ! Ou même une simple petite soirée ou moment se transformait en sex land ! Bon je ne pensais pas qu’à ça, mais avec Jencie j’avais l’impression d’avoir un retard à combler. Et puis ce n’était pas purement sexuel, ça me changeait d’avant. Les sentiments étaient bien présents et mon cœur n’était plus le même depuis que j’avais couché avec elle. On passait toutes nos nuits ensembles, j’étais accroc, trop. Ma nature faisait de moi un mec à femmes, donc impossible de dormir seul. Avoir une petite amie rendait la chose bien intéressante… Je voyais des choses à elle trainer dans ma chambre, ça me faisait sourire.

On avait la maison pour nous tout seul, Cooper était parti aux USA avec Guimyokis c’était parfait ! J’avais promis à mon frère de plus copuler dans la maison sauf dans ma chambre. Mais il était absent et puis c’était excitant d’être autre part que dans un lit. Ce n’était pas vraiment prévu, je venais de ramener des glaces, pour elle. J’avais quelque peu changé, pour une fille je n’aurais jamais fait tout ça avant. Je me trouvais devant le plan de travail américain, tenant les deux pots de glaces. Je lui faisais du chantage… Pourquoi ? Parce que… En fait je ne me souvenais pas. Mais peu importe je boudais. Elle savait y faire avec moi, elle s’était collée contre moi puis avait glissé une de ses mains dans mon jean. Puis dans mon boxer… je ne pouvais pas m’empêcher de soupirer de plaisir et de bander très vite. J’étais un homme, j’étais Deklan Winstead. En peu de temps je lui donnais sa glace, mais elle arrêta tout… après avoir râlé… Je m’étais rapproché d’elle pour continuer nos petites affaires. J’étais fou d’elle et donc mes gestes en ressortaient brutal, doux ainsi que passionnels. Il me fallait pas beaucoup de temps pour lui remonter sa robe, toucher ses fesses… Et la soulever histoire de la poser sur le plan de travail de la cuisine. Elle m’embrassait sans relâche pendant que ses jambes s’écartées et m’emprisonnées. Je commençais à défaire ma ceinture, ma braguette lui laissant plus d’accès pour sa main. J’étais en transe totale. Et tout se coupa net quand le bruit du claquement de la porte d’entrée se fit entendre. Mon père venait de débouler dans la cuisine aussi rapidement que possible. Putain je venais à peine de ranger le matos… et de boucler ma ceinture. Jencie était hyper gênée et je comprenais totalement pour elle. Moi je m’en fichais un peu mais je me disais que ca aurait pu être pire s’il était arrivé cinq minutes plus tard. J’imaginais bien la scène… Moi en train de prendre ma chérie dans la cuisine.

« Ton père… »
« Oh putain !... »

Ma blonde se tenait à côté de moi et me tenait la main… je n’allais pas la lâcher. Mon père avait l’air surpris, il ne l’avait pas revu depuis ses 16 ans. Surtout que je n’avais jamais vraiment expliqué la raison de son absence survenue d’un coup.

« Bonsoir monsieur Winstead. »
« Eh bien... Deklan je ne suis pas surpris de toi mais Jencie… toi. Tu as changé, grandi. »
« Papa… c’est bon quoi. Tu devais pas rentrer de toute façon. »
« C’est encore chez moi il me semble. »

Son air arrogant à la Winstead m’énervait tellement grrrr. Mais bon que pouvais-je dire ? J’avais qu’une envie monter dans ma chambre là-haut et m’enfermer avec Jencie. Qu’il arrête de reluquer ma copine comme il le faisait déjà ! J’étais nerveux et cela se voyait.

Jencie avait l’air de gérer tout ça comme une warrior, une déesse. Elle était plus à l’aise que moi au final, pourtant j’étais chez moi et devant MON père. Pas le sien, bizarre non ?! Mais en même temps je n’aimais pas qu’il me voit dans ce genre de positions délicates. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle lui réponde aussi sèchement ?! Oui parce qu’elle disait bien fort ce qu’elle pensait. Quand elle prononça le mot chambre, ma main se crispa l’air de dire tais-toi… Non mais expliquer à mon père qu’on serait monté pour baiser après les préliminaires dans la cuisine… C’était vraiment moyen.

« Oui… j’ai grandi et changé, en six ans c’est un peu normal. Et je suis désolée de la… mauvaise surprise […] mais il a raison, on pensait être seuls pour la soirée… et on serait bien sûr monté dans sa chambre. »
« Je l’espère bien... »

Mon père était en train de poser ses affaires dans le salon, on voyait tout de la cuisine vu que c’était totalement ouvert. Quand il repassa par la cuisine, Jencie se colla à moi pour me déposer un baiser furtif sur mes lèvres. Putain je ne comprenais pas pourquoi je ressentais cette gêne… d’habitude je pouvais m’afficher devant lui sans problème dans la limite du raisonnable. Puis mes yeux se posèrent sur Jencie et là je venais de tout comprendre. L’amour changeait tout…

« De toute manière on n’a rien fait de mal… »
« Mais arrête… » Je venais de lui chuchoter ca discrètement pendant que mon père avait le nez dans son portable, mais toujours devant nous. Comme s’il ne pouvait pas faire autre chose que de me coller là. Il jouait le père modèle ou quoi ?

«N’est-ce pas monsieur Winstead ? Je suis sûre que vous avez déjà fait pire lorsque vous étiez plus jeune ? »
« Putain tais-toi… »

Encore un chuchotement, mais là je venais de l’entrainer vers l’étage… Histoire de couper court à cette conversation qui commençait à m’énerver sérieusement. Je tenais fermement la main de ma petite amie sans lui faire mal bien entendu, mais histoire de dire « ramènes-toi ». En montant les marches mon père s’empressait de crier cette phrase que je n’aurais jamais voulu entendre.

« Oh oui mais pas autant que Deklan ! »

Mon regard perçait celui de Jencie, une fois dans ma chambre et la porte fermait je me dépêchais de parler. Lui lâchant la main, allant m’allumer une clope. J’ouvrais légèrement ma porte fenêtre pour aérer. Toute cette situation avait coupé mon envie, je tournais vers elle.

« Sérieusement dis rien la prochaine fois ça craint… »

« J’aurais dû le laisser me mater sans rien dire ? J’étais gênée, mal à l’aise, et j’ai pensé que ça détournerait son attention, que ça nous fournirait l’excuse pour partir sans avoir l’air… coupable. Parce que je ne vois pas de quoi on aurait dû se sentir coupable ! Ok, c’est sa cuisine, sa maison, mais c’est aussi la tienne, et… Mais d’accord… »
« Il t’a maté ? Putain pas toi… en plus je ramène jamais personne ici... Ecoute tu le connais il a pas changé, c’est avant tout chez lui et on doit se tenir à carreaux. Ca me saoule mais comme il vient rarement je fais toujours avec et puis j’ai tout ce que je veux… Mais avoue que c’est gênant de voir son père débarquer comme ça pendant qu’on… rah… »

Je faisais une grimace tout en continuant de fumer ma clope. J’étais nerveux et je faisais toujours ça dans ces moments-là. Ma consommation de cigarettes avait commencé par le stress, à la mort de ma mère. Depuis c’était devenu un réflexe, je fumais un paquet par jour. Mais toujours dehors, je détestais l’odeur du tabac froid.

« … je dirai rien la prochaine fois. Mais pourquoi tu ne lui as pas dit qu’on sortait ensemble ? Ça aurait sans doute tout réglé… »
« Je dis pas ce genre de choses à mon père… et puis il n’y a eu que Ash’ avant toi. Mais si tu veux oui je lui en parlerai… seulement il va encore me sortir le même discours. » Elle venait de poser sa main sur mon bras, son regard dans le mien avait le don de me calmer. Elle avait des yeux adorablement magnifiques.

Jencie était vraiment top niveau physique, j’avais de la chance qu’elle s’intéresse à moi. Qu’elle reste avec moi, qu’elle m’aime pour ce que je suis, depuis si longtemps. En plus sa façon d’être était vraiment craquante, j’adorais sa tête quand elle boudait. Même quand elle me faisait la gueule. Mais ça ne durait jamais bien longtemps et heureusement car j’avais du mal à imaginer ma vie sans elle. Plus le temps passait, plus je voyais que cette blonde qui était devant moi… était la femme parfaite. La mienne. J’étais vraiment heureux, je pensais même plus à ma vie d’avant. Les conquêtes ça ne m’intéressait plus du tout, je pouvais regarder des filles… Mais non rien ne me donner plus envie que de serrer Jencie dans mes bras.

« Je t’aime, tu sais ? »

J’entourais ma petite amie avec mes bras, faisant bien attention de garder ma clope à distance d’elle. Histoire d’éviter des petites brulures (a). J’approchais mon visage du sien, l’embrassa tendrement et repris la parole. Mes yeux brillaient, j’étais fou d’elle et en plus encore bien en train de pouvoir imaginer la scène qu’on allait vivre. Je restais Deklan, dur à calmer quand l’excitation était au plus haut point.

« On était bien parti… dommage… c’était super excitant en plus. Ça te dit qu’on aille dans ta chambre sur le campus ? J’ai trop envie de toi… »

« Quel genre de discours ? Mais disons que ça risque d’être dur de me garder discrètement et indéfiniment dans un placard. »
« Arrête de dire des conneries, je te laisse pas dans un placard. C’est juste qu’il va me dire que je suis qu’un abruti qui se laisse dominer par une femme. Tu vois le genre donc bon je préfère même pas en parler. Tout ce qui compte c’est toi et moi. »

Mon paternel était un véritable connard, fallait si faire et donc Jencie devait accepter l’idée que je n’avais pas forcément envie de lui parler d’elle. Non pas parce que je la cachais dans un coin, mais surtout parce qu’il me ferait trop chier. En plus, il est rarement là alors à quoi bon ?! J’avais réussi à lui changer les idées avec ces simples mots. « Je t’aime » c’était efficace, je ne pensais pas que ça pourrait l’être autant en fait. Je le pensais, c’était sincère mais là je venais de m’en servir histoire qu’elle lâche l’affaire.

« Hum… je crois. »

Voilà le charme avait fonctionné à merveille. J’avais emprisonné ces douces lèvres, avec ce mélange de passion et d’envoutement. Mon petit regard charmeur et hop c’était dans la poche, trop facile... Yeah ! D’ailleurs nos gestes tendres refaisaient surface petit à petit, l’envie se faisait de nouveau sentir. Nous étions des animaux, tout le temps en train de se bécoter pour terminer dans des positions plus qu’intéressantes ! On avait la fâcheuse tendance de baiser, plus que de faire l’amour surement à cause de ma fougue légendaire… Et de mon côté pervers. Le côté romantique c’était plus le matin, au réveil…

« Ah oui ? […] Quand je fais ça aussi ? […]J’ai envie de toi aussi. Ma chambre… ou n’importe où tant que je suis avec toi. »
« N’importe où… hum c’est vrai qu’on a déjà testé pas mal d’endroit… Mais là j’ai pas envie de rester dans ma chambre. »

Elle savait choisir les bons mots, ceux qu’un homme adorait entendre. En moins de temps que je l’aurais souhaité, je sentais cette chaleur en moi. J’étais excité, j’avais une érection… il fallait que je la saute là maintenant ! Mais la présence de mon père dans cette baraque gâché tout ! J’étais collé contre elle, mes mains se baladaient sur son corps. L’une d’elle remonter une nouvelle fois sa mini-jupe, me laissant accéder à ses fesses que j’effleurais avec mes doigts. Mon autre main était tout autant occupée… son décolleté n’appelait que moi. J’adorais ses seins, ils me rendaient fou ! Elle avait une poitrine parfaite. Mes lèvres ne voulaient plus quitter son corps, sa bouche.

« Je t’aime. »
« Bon on se tire ?… ou… »

Finalement l’idée de la présence de mon paternel n’était plus dans ma tête. Il avait comme disparu… Ma porte était fermée à clé, lui devait être en bas dans son bureau. Et je ne pouvais pas résister à l’envie de coucher avec ma petite amie. C’était donc sans retenu que ma main qui jouait avec le string de Jencie, se déplaça doucement vers sa partie la plus sensible. Laissant aller des caresses sensuelles, tout en étant brusque quand je lui retirais ce petit bout de tissus.

« Et qu’on pourrait en tester bien d’autres… »
« Hum intéressant... »

Encore d’autres endroits ? Jencie avait alors une très bonne imagination car personnellement je pensais qu’on avait presque tout testé. Enfin dans la limite du possible et du raisonnable… Les lieux publics c’étaient marrant oui, mais ça va quelques fois car j’aime pouvoir prendre mon temps. Et puis ce n’est pas toujours confortable. Donc pourquoi pas dans un élan de pulsion sexuelle mais c’est tout. Bah ouais je n’étais pas si pervers, ou plutôt tordu car bon j’étais cru et obsédé par le sexe. Mais en l’occurrence par Jencie, je ne pensais plus qu’à elle dès que j’avais envie de baiser. Normal et rassurant car sinon ça voudrait dire que je pourrais la tromper comme ça. Eh bien non, c’est con hein ?! Surtout pour toutes ces demoiselles en manque de moi. Car quand on goûte à Deklan Winstead on ne s’en passe plus jamais, jamais, jamais. J’avais la grosse tête ? Peut-être un peu et alors ?! J’aimais penser ce genre de choses et puis je me suis jamais pris de râteaux dans ma vie alors…

« On s’en fout… »

J’étais ravi de sa réponse, car bon elle aurait pu vouloir partir ou ne rien faire vu la situation. Mon père en bas dans son bureau… Mais quand on était ensemble, on ne pensait qu’à ça ! Des vrais petits lapins… Jencie m’avait surpris et encore plus à chaque fois, car elle était vraiment entreprenante, et j’adorais sa façon de faire. Sentir ses baisers me donner des frissons, me coller à elle m’excité toujours. Je ne pensais qu’à lui arracher ses vêtements et me la faire. Ma main avait bifurqué vers son entre jambe, caressant avec volupté son intimité. Je n’avais pas tardé à écarter son string, me laissant découvrir et sentir encore plus cette douceur sous mes doigts maintenant humides. Mon autre main se baladait entre sa poitrine, son cou, son dos, sa hanche… Elle s’empressa d’enlever la boucle de ma ceinture une nouvelle fois. Mais j’étais sûr que là j’aurais bien plus que tout à l’heure. Je pris de l’avance et enleva mon tee-shirt. Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps, elle avait déjà tout déballé comme si elle en mourrait d’envie. J’adorais son regard de coquine, perverse… Elle prit alors mon membre entre sa main, montant de haut en bas. Me laissant extirper quelques soupires de plaisir. Ce n’était que le début… Ses lèvres prirent possession de ma virilité qui était au plus haut fixe. Je ne pouvais qu’apprécier le moment présent, me laissant aller, regardant sa tête bouger d’avant en arrière. Je m’étais adossé au mur de ma chambre, une main sur sa tête. Cette gâterie dura quelques petites minutes, c’était moi qui l’arrêtais dans son élan. Sa langue avait virevolté de trop et donc… (a) Je l’aidais à se relever, me baissant pour l’embrasser langoureusement tout en retirant mon jean, mon boxer. Me retrouvant nu comme un vers, je baissais sa jupe le long de ses jambes. Passant mes mains sur ses courbes, ses fesses. Retirant son petit bout de tissus noir en dentelle, très mignon d’ailleurs. Son haut ne fit pas long feu, en deux secondes il se retrouvait à terre, dévoilant encore mieux sa poitrine généreuse que j’aimais tant. Je ne pris pas la peine de lui enlever tout de suite, me contentant de lui toucher d’une main ses fesses, et de l’autre ses seins. Tout en la dirigeant vers mon lit… Elle s’y retrouvait allongée, je ne pouvais pas m’empêcher de poser et d’effleurer mes lèves sur tout son corps. Terminant ma course vers sa partie intime, bien humide… Ma langue commençait alors à explorer cet endroit que je connaissais bien maintenant. J’adorais l’entendre gémir, se crisper…